Après Alaïdin, c’est Kader qui rejoint l’écurie Citebeur. Bad boy viril de 38 ans, vrai étalon — jugez plutôt :
Le genre de gars qui t’attrape, te cale contre le mur et te fait comprendre — si t’es partant — qu’il mène la danse. En face, peu la ramènent quand il sort son calibre.
Un gland pareil, t’as déjà vu ? Le genre de gabarit qui va droit au point sensible. Kader aime le sexe cash, sans détour. Et pour lui donner la réplique, Citebeur fait appel à Mathieu, toujours prêt à se laisser guider par les caïds les plus chauds.
Comme souvent, à peine le calibre dévoilé, Mathieu se met à l’ouvrage. Il offre une turlutte appliquée qui fait grogner le mâle poilu. Le calibre se dresse, épais et raide — le passif savoure.
Place au corps à corps : Kader plaque Mathieu sur le lit, le cale par la taille, s’aligne et entre posément. Le tempo grimpe vite ; le passif, lui, ondule pour l’accueillir plus profond. C’est soutenu, précis, sans chichi — ça respire la sueur et la virilité.
Kader touche juste à chaque mouvement : Mathieu gémit, obéissant, il encaisse comme un pro. L’étalon ne faiblit pas, enchaîne près de vingt minutes à rythme élevé, avant un final appuyé : finish extérieur net, trace brillante sur les fesses, torses luisants et regards satisfaits.
Kader a du style, de l’attitude, et on compte les jours avant son prochain passage sur Citebeur. En attendant, cette scène est une vraie carte de visite pour ce nouvel étalon “curieux” casté par la prod.
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