Depuis quelques mois, je croise souvent un beau rebeu près de chez moi. À chaque rencontre, nos regards s’accrochent. Je finis par l’aborder franchement ; il s’appelle Aziz. On échange nos numéros et on cale un rendez-vous pour le lendemain à 18 h.
Le jour J, il arrive avec quelques minutes de retard, curieux et réservé. On discute, je lui propose de passer à l’appart — à deux rues — pour regarder des idées de photos. L’idée lui parle, on convient d’un petit cachet pour une séance test, simple et discrète.
Une fois chez moi, l’ambiance se détend. Aziz enlève son t-shirt : torse sec, dessiné, quelques poils, une vraie vibe de mec sûr de lui. Je lui propose d’essayer deux ou trois boxers pour voir ce qui rend bien. Il joue le jeu, pose devant l’objectif, et le courant passe encore plus fort.
Très vite, on met l’appareil de côté : le moment nous dépasse, l’attirance est évidente. On se rapproche, baisers lents, mains posées, souffle court. Aziz garde le lead, me cale contre le canapé, me demande si je suis ok — je hoche la tête. Le rythme s’installe, mesuré d’abord, puis plus franc. Je me laisse guider, il ajuste, écoute, reprend, maîtrise.
On change de position, les regards ne se lâchent pas. C’est moite, intense, terriblement viril. Je sens sa cadence, je m’aligne, tout devient naturel. Le temps file, on oublie tout le reste.
Quand la pression retombe, on rit, on souffre les torses, on reprend nos esprits. Je glisse son cachet dans la poche de son survêt, il sourit et me serre la main. Un moment simple, chaud, net — qu’on sait déjà vouloir recommencer.
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