Je m’appelle Roman Tik, assoiffé de plans chauds. Cette nuit, avec mon pote Vink, on avait prévu une session en cave. Sur place, Alaïdin et Dzfuck passent dire salut — l’alchimie prend tout de suite, on pose les règles entre mecs consentants… et on lance le délire.
Les deux rebeus mènent avec leur flow de lascars : regards lourds, voix basses, gestes sûrs. Nous, on se laisse guider, chauds et disponibles. Les calibres se présentent, les bouches bossent propre, rythme réglé au millimètre — un vrai service de pro. L’air devient moite, la cave résonne des souffles courts.
Pendant que je gère l’un, l’autre se cale derrière moi. Tout se fait carré : lubrifié, angle ajusté, tempo posé puis plus appuyé. Je prends, j’assume, j’en redemande — exactement mon terrain. Vink suit la même route, cambré, concentré, le sourire au coin.
Les rôles tournent, les positions s’enchaînent : de face, de dos, levrette, face-à-face. Cadence soutenue, mains fermes aux hanches, dos qui ondule — la sueur perle, les regards s’accrochent. À chaque reprise, la tension grimpe d’un cran. On kiffe tous les quatre, sans chichi.
Je valide d’un signe de tête quand on me demande si ça va : parfait. Le tempo repart, encore plus net, plus profond. On tient la ligne droite jusqu’au pic — cardio à bloc, échos qui claquent dans la cave. Session urbaine, brute, maîtrisée.
Finale au top : énergies lâchées, respirations explosives, sourires de caïds. On reste un instant au sol à reprendre notre souffle, rincés mais refaits. Nuit validée. Pur esprit Citebeur : consentement, virilité, efficacité — entre gars qui savent ce qu’ils veulent.
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