Vincent, trentenaire parisien, a un faible pour les mecs virils — encore plus quand ils sont basanés. Sur une appli, il déniche un beur bien assuré, au calibre qui ne laisse aucun doute. Quand le gars arrive en survêt et le tombe, Vincent écarquille les yeux : un vrai morceau, imposant, taillé pour le plaisir.
La suce démarre gourmande et appliquée : Vincent s’agenouille, prend son temps, langue précise, va-et-vient maîtrisés, regard accroché. L’ambiance chauffe vite, les souffles se calquent, l’autre pose ses mains avec assurance et guide sans forcer.
Place à la suite : le beur s’installe en mode actif, capote posée, gel prêt, il aligne doucement puis enchaîne, profond et précis. Vincent se cambre, offre l’angle parfait, chaque poussée touche juste, là où ça fait vibrer. Le rythme devient plus sec, plus dense ; les gémissements graves remplissent la pièce. C’est brut sans être sale, carré, efficace — deux mecs qui se comprennent.
Après cette session tendue, le maître rebeu ralentit, se retire et conclut en beauté, marquant son passif comme il faut. Le jet coule sur la peau, Vincent sourit, encore parcouru de frissons. Pour finir, un dernier frôlement, un baiser rapide, des regards qui promettent la revanche — et bien des replays en tête.
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