Nouvelles aventures pour Tahar, la figure de lascar qui revient toujours plus chaud. On le retrouve dans le 93, spot discret, avec un partenaire affamé et consentant. Le blédard TTBM sait mener le jeu : attitude de mâle, regard qui pose le cadre, zéro blabla.
Rendez-vous en coin de cité avec un mec roux, streetwear, 37 ans, habitué aux gros calibres — et venu aujourd’hui pour la légende Tahar. Le rebeu domi met l’ambiance tout de suite : petits rituels de caïd, baskets qu’on honore, survêt qui descend, échange de regards lourds. Le calibre prend forme, la tension grimpe, et le jeu s’installe — net, assumé, viril.
Comme un macho sûr de lui, Tahar se laisse servir, puis guide le rythme, bouche appliquée, respiration calée. Deux tapes sèches, un sourire en coin : notre alpha est chaud pour passer à la suite. Le jockstrap du roux finit de l’allumer — cambrure parfaite, sangles en main, la scène devient électrique.
Après un passage de langue pour la chauffe, il le saisit par les sangles, aligne l’angle et s’installe propre. Le tempo monte : levrette appuyée, cadence franche, souffle court. Les claquements résonnent entre les murs, coupés par des râles de plaisir — pur décor de téci, moite et viril.
Tahar confirme son statut de serial baiseur du label Citebeur : cardio de fou, maîtrise totale, plaisir partagé. Endurant, précis, il sait faire kiffer les culs serrés sans jamais perdre le contrôle. Et quand la pression est à son pic, il conclut dans une finale brûlante comme il les aime — regard d’alpha, mission accomplie.
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sonia
25 décembre 2020 À 21 h 03 min
mm bon rebeu nikeur j’adore….mon snap soniatravchaude