Thashykii, rebeu passif au regard doux, retrouve un lascar discret pour un plan bien chaud. Rencontre calée en scred, tard le soir, dans une cave du 93 — ambiance béton, néons froids, parfait pour un moment viril sans chichi.
Thashykii, jeune métis d’origine tunisienne, a ce qu’il faut pour faire tourner les têtes : un bon croupion, des lèvres pulpeuses, et une vraie dévotion pour les mâles dominants. À genoux, il s’applique : bouche précise, gestes nets, main sûre — il bichonne le calibre du lascar, le fait monter, et arrache des souffles qui en disent long. Le courant passe, la tension grimpe, tout est carré et consenti.
Le jeu change de rythme. Plaqué au mur, cambrure parfaite, Thashykii offre le meilleur angle. Le lascar se cale derrière, ajuste, lubrifie, et engage un tempo appuyé mais propre. Les hanches tiennent, les épaules se contractent, l’écho du lieu amplifie chaque mouvement. Le passif ondule, se relâche, et laisse la scène prendre de l’ampleur.
La cadence s’envole : levrette tendue, face-à-face pour capter le regard, puis retour au mur — toujours contrôlé, toujours efficace. Thashykii est en transe, haletant, totalement dans le kiff. Un pur moment Citebeur : urbain, moite, viril — capté sur le vif, sans blabla.
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