Chris Llesca, jeune lascar passif, a le genre de visage qui fait tourner les têtes — surtout celles des actifs sûrs d’eux. Parmi eux, Andolini, quadra kabyle au charisme brut, réputé pour son calibre imposant. Rien qui effraie Chris : le minot a de la bouteille, et il aime relever les défis.
Ils se retrouvent dans le parking souterrain du quartier, spot discret connu des initiés. Pas de blabla : l’alchimie parle. Andolini laisse entrevoir la marchandise et confie le service au jeune lascar soumis. Chris s’applique, bouche experte, gestes précis, caresses bien placées — le genre de mise en bouche qui fait monter la température sans forcer.
Quand l’air devient lourd, Chris se laisse préparer. Andolini humecte, guide, aligne, puis entre doucement, centimètre après centimètre, jusqu’à être bien installé. Le minet serre les dents une seconde, trouve son souffle, puis laisse la sensation l’envahir : rempli, tendu, parfaitement calé. Le dominant pose alors un déhanché souple et régulier ; chaque mouvement vient masser au bon endroit, et Chris ferme les yeux pour en profiter.
Le rythme accélère, la cadence claque, l’écho résonne entre les murs du parking. Les regards s’accrochent, la sueur perle, Chris s’arque et lâche des soupirs graves — totalement dedans. La session prend une ampleur sérieuse, tenue de bout en bout par un Andolini maître de ses appuis.
Au sommet, le viril prend les commandes du final : il fait signe au jeune keum de se mettre à genoux, bouche offerte. Andolini se libère en plusieurs jets puissants qui glissent sur le visage angélique de Chris Llesca — point d’orgue d’une rencontre urbaine, moite, menée avec autorité.
Une parenthèse chaude et nerveuse, finie en beauté — exactement comme ils l’aiment.
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