Malik le lascars algérien est de retour sur Citebeur, en colocation avec le passif assumé Chris Llesca. Les deux sont en surchauffe — surtout Malik, calibre en béton et regard qui commande. Entre eux, le deal est clair : plan discret, rôles posés, respect et kiff.
Affalé sur le sofa, cgourmand au bec, Malik appelle Chris. Casquette vissée, sourire carnassier, le minet se met à l’aise et s’agenouille. Il ouvre grand et honore le gourdin du rebeu, lentes caresses, lèvres qui glissent, rythme qui monte. Le dominant se laisse faire, posé comme un pacha, profitant de chaque geste appliqué.
Quand la pression grimpe, Malik se penche et explore plus bas, embrasses intimes et mains fermes qui guident. Le temps d’une préparation soignée, un “ok” soufflé, et le rebeu s’aligne : tout glisse naturellement, l’angle est bon, la séance peut décoller.
Le directif passe en doggy, tient la taille, et installe un tempo net, sec mais maîtrisé. Les petites fesses rondes du minet claquent au bon moment ; l’air devient lourd, les respirations se coupent. Pour aller plus profond, Malik le retourne, lui relève les jambes et cale des appuis millimétrés. Chris ferme les yeux, sent la pression au bon endroit, et laisse la vague le traverser jusqu’au frisson.
La montée est propre, tendue ; Chris lâche prise, torse battant, regard accroché au sien. Malik suit, se redresse, et finit en leader : debout, face au minet qui accueille le point final. Jets généreux, sourire en coin, peaux en sueur — parenthèse urbaine comme ils les aiment, simple, chaude et parfaitement assumée.
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