CashTeub, rebeu algérien charmeur — attitude posée, corps affûté — enchaîne les plans sans forcer, entre boulot et salle. Les caméras de Citebeur le suivent chez un passif rencontré après un dial express. Dès la porte, il met l’ambiance : baisers profonds, mains fermes sur les fesses. Pas de doute, CashTeub adore les culs bien ronds, bien tenus, surtout quand ils promettent une vraie tenue au lit.
Préliminaires qui claquent : suce appliquée, quelques frottements taquins, regards qui chauffent. Puis le dominant glisse la tête entre les fesses du rouquin, langue précise, cercles lents, coups de boutoir délicats. L’anulingus fait effet : le passif se cambre, mord sa lèvre, la température grimpe d’un cran.
Ouverture prête, CashTeub s’aligne et entre avec contrôle. Rythme posé, puis plus soutenu : il agrippe les hanches, cale l’amplitude, va chercher profond. À chaque poussée, le passif frissonne, l’impact se lit dans le bas du dos. La sueur perle, l’air se charge ; on entend même les appuis battre la mesure à chaque va-et-vient.
Des bons baiseurs, Citebeur n’en manque pas — on pense à Tahar — mais la force de CashTeub, c’est ce mélange d’intensité et de douceur. Il mène, oui, mais il écoute ; ses partenaires gémissent de plaisir, jamais autrement. C’est ce dosage qui en fait l’un des chouchous du moment. Franchement, qui ne voudrait pas croiser sa route un de ces soirs ?
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