Après un long préliminaire appuyé, notre beau keum algérien prépare soigneusement son partenaire — regards accrochés, signes “ok”, souffle calé. Quand tout est en place, il aligne son gros calibre et s’engage lentement, sans forcer, juste ce qu’il faut pour que le passif (majeur) trouve son rythme et s’ouvre.
Le mec accueille large, prend son temps, puis finit par le prendre entier. C’est là que l’actif pose son déhanché sec et puissant : prises fermes, bassin qui claque, cadence tenue. La pièce se charge de chaleur, les soupirs graves montent, l’angle est parfait.
Ça faisait un moment qu’il n’avait pas joué à ce niveau. Envie rentrée, énergie de quartier : il mène, profond et précis, jusqu’au point de rupture. Le final approche — talons ancrés, reins tendus — et il se libère comme il faut, sourire en coin, pendant que le passif haletant savoure chaque seconde.
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paulbern
2 décembre 2015 À 19 h 02 min
je te donne mon cul quand tu veux