Tahar, c’est le boss qui pose le cadre et mène le jeu sans bavardage.
Le jeune passif voulait driver le plan à sa sauce, mais avec Tahar, tout se met vite au clair : adultes, rôles posés, limites respectées. D’entrée, ambiance électrique. Le regard parle, le bulge aussi. Tahar sort son calibre, le minet s’agenouille et bosse propre : coups de langue précis, rythme régulier, profondeur maîtrisée. Le caïd cale ses mains pour guider avec l’accord du partenaire, et la chauffe monte sans forcer.
La suite se passe en mode sans capote assumé (ok des deux côtés). Tahar retourne le beau gosse, un peu de salive, respiration calée, et il entre progressivement. Quand le minet donne son go, la cadence grimpe : appuis solides, va-et-vient profonds, tempo qui claque. Les sons résonnent dans la cage d’escalier, le passif cambre et en redemande, le sourire au coin des lèvres.
Au fil des minutes, le minet lâche prise et savoure le fait de laisser Tahar piloter. Il se laisse travailler comme il aime, kiffe chaque passage et profite du final avec un clin d’œil complice. Urbain, direct, efficace — signature Citebeur, et 100 % consenti.
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