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Le lascars bogoss de la colonie m’a rempli le cul

C’est ce qui s’appelle s’éclater en colonie de vacances ! Ils ont fugué en quête d’un endroit tranquille pour se chauffer , et la suite est plus qu’excitante…

Spencer est en colo et son nouveau pote Kamzouz l’excite bien. C’est un jeune beur des cités, dans le style lascars, avec sa casquette vissée sur la tête du matin au soir et son survet moulant. Le genre de BG qui le fait fantasmer sous la couette quand les lumières du dortoir s’éteignent.

Ce jour là, les deux keums décident de zoner à l’extérieur du camps , ils se faufilent et atterrissent bientôt dans un champs de tournesol où il n’y pas à un chat à des kilomètres à la ronde. Un terrain de jeux tout trouvé pour Spencer qui commence par allumer son pote. Il ne la joue pas en amoureux transit, évidemment, disons plutôt finement !

Il lui lance un : « -Tu t’es déjà fait sucé ? » , ce à quoi Kamzouz répond par la négative. « – Si tu veux je te suce moi, je m’en fout. Tu pourras voir les sensations que ça donne et me dire ce qu’il en est… toi t’es pas obligé de me sucer t’inquiète! ».
Après un refus catégorique, le jeune beur finit par hésiter… puis devant la tentation de se faire tailler la première pipe de sa vie, il finit par céder. Le céfran se met en position, tandis que le lascars sort sa bite du survet. Elle ne bande pas trop encore, plutôt demie-molle. Mais ça ne tarde pas à changer quand le BG la prend en bouche et commence à lui lécher et sucer la teub sur tout la longueur.

Le lascars gémit de plaisir , et intérieurement Spencer fait de même. Il ne veut pas trop faire savoir qu’il apprécie ça. Mais, toujours avec une idée derrière la tête, il demande à son pote si ça le tente de le sodomiser : « – Je suis clean, et ça va, t’as bite est pas énorme non plus, je sens que ça peut passer sans me faire grand mal… ». Toujours après une hésitation les deux minets se lancent pour une sodomie. Et surement vexé par ce que le petit céfran à balancé jusqu’avant, Kamzouz se donne à fond. Il donne de grand coups de reins, et enfonce sa teub au plus profond du jeune garçon qui ne cesse de couiner.

 

« – C’est bon je retire ce que j’ai dit, je la sens, et elle me fait du bien. », après quoi le rebeu repars de plus belle et pilonne le passif comme un malade avant de lui jouir sur ces petites fesses.

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