Tahar domine un minet marocain

Jeune beur marocain, gueule d’ange et corps sec : exactement le style qui fait craquer Tahar. Le boss de la cité aime les duos virils où ça joue l’autorité — mais avec des règles claires, entre adultes. Ce soir, pas de compromis sur l’intensité, et le cadre est posé : consentement net, signes OK, ambiance chaude.

Le lascars algérien mène la danse : regard dur, épaules larges, présence qui s’impose. Le jeune passif, calmé et partant, se place pour servir. Chauffe lente, baisers courts, prises fermes — la tension monte comme il faut, sans débordement.

Première étape, bouche honorée : rythme tenu, main qui guide, pauses pour respirer. Puis Tahar bascule sur l’arrière : il prépare, salive, langue qui trace, caresses appuyées. Une fois l’ouverture prête, il retourne son partenaire et prend la place derrière, net et assuré. Le passif souffle, s’aligne, et le plaisir prend le relais.

Le calibre de Tahar est sérieux — on parle d’un gabarit qui se sent — et ça se voit dans la cadence : appuis solides, bassin précis, variations d’angle qui font vibrer. Le passif gémit, en redemande, et le dominant garde le contrôle du tempo jusqu’au final.

Clôture propre : relâchement généreux, marque déposée en profondeur, corps encore chauds et regards accrochés. Une session Citebeur à l’ancienne : virile, urbaine, tenue, où chacun a trouvé exactement ce qu’il était venu chercher.