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Récits

Séjour en Tunisie : Mon expérience avec le groom de l’hotel

Bonjour.
Je m’appelle Patrick et je suis commercial dans une boite d’import export. Je suis chargé du développement Maghreb et Moyen Orient, mais ma destination favorite est sans nul doute la Tunisie. C’est sur Tunis que je n’ai pas peur de draguer de jeunes arabes, car même si je suis marié dans un couple qui se porte bien, avec enfants, en voyage, j’aime m’adonner au sexe entre mecs.

Ma dernière expérience en date était avec Youssouf, le groom de l’hôtel où je résidait. Il était beau comme un adonis, un corps fin, une belle beau basanée et une gueule renfrogné. Il était vêtu habituellement de sa djellaba blanche, et par les plis et la faible épaisseur du tissu j’arrivais à deviner la grosseur de son paquet et même ses tétons.

Un soir, quelques jours après mon arrivée à Tunis, j’était dans ma chambre d’hotel sur mon lit, j’ai dû m’assoupir un moment quand on a frappé à ma porte, ça m’a réveillé et comme j’étais en érection dans mon boxer je n’ai pas osé me lever, j’ai simplement mis un drap sur moi et crié « entrez ! » .

C’était Youssouf, qui me ramenait des serviettes et des clopes. Je lui ai demandé de me les lancer, mais manque de bol, je l’ai ai mal interceptées et mon mouvement vif à fait glisser le drap. Mon érection était clairement visible, et ça n’a pas échappé au jeune beur dont j’ai croisé le regard en direction de mon entre-jambe. Il ne disait rien, puis il m’a regardé en lâchant un léger sourire et s’est rapproché de moi. Mon coeur battait à vive allure, quand il s’est assis sur mon lit, toujours sans rien dire, il a glissé sa main vers ma verge en l’effleurant légèrement.

Commençant par comprendre ce qu’il attendait de moi, et moi de lui, j’ai rapproché mes mains de sa nuque pour la lui caresser tendrement, c’est à ce moment qu’il m’a mordillé les doigts. Puis il s’est débarrassé de sa djellaba, et à ma grande surprise il était nu dessous, rien qu’à voir son corps sublime, mon boxer allait craquer ! Je parcourais son corps de mes mains, j’ai pu apprécier sa peau douce et parfumée… On s’est embrassé et je l’ai senti empoigner ma bite pour l’extirper de mon boxer.

 

Il m’a branlé avec une certaine rudesse, me tirant trop sur le frein, j’imagine qu’il n’avait pas trop l’habitude des mecs ou bien des non circoncis… Je me rappelle aussi qu’il me branlait en me malaxant les couilles, un peu comme un massage, à la fois fermement et langoureusement.

Il s’est alors allongé sur le ventre, face à moi (pour rappel je suis en position semi assise contre la tête du lit) et là il a pris ma bite en bouche, me pompant vigoureusement et me laissant admirer son joli petit cul rebondi. En même temps il faisait des mouvements de vas et vient pour frotter sa bite contre le lit, et moi, profitant de cela pour lui malaxer les fesses… un régal, j’en re-bande rien qu’à le raconter.

Me sentant au bord de l’orgasme depuis le moment où il a attrapé ma bite avec ses mains, je l’ai légèrement repousser pour aller chercher mes capotes qui était dans une sacoche dans la salle de bain. Quand je reviens, il est toujours sur le lit, toujours muet, en me regardant avec son sourire collé aux lèvres… Je lui montre la capote, et là il se met à 4 pattes sur le coin du lit, le cul tellement cambré que je pouvais voir sa rondelle légèrement poilue.


Je saisi mon lubrifiant et lui enfonce un doigt, j’entends un léger couinement, puis un deuxième doigt, un autre couinement plus marqué… et là je lui doigte l’anus sans me toucher la queue… je suis vraiment prêt à jouir ! Vient le moment où je me décide à le pénétrer, debout derrière lui, ça rentre tout seul et son cul avale mon membre sans trop forcer.  Je le limait de façon douce au début, puis peu à peu, j’essayais de voir s’il kifferait pas que j’y aille plus fort… j’ose une claque sur ses fesses, et y va à fond… le voyant bien réagir par des gémissements vifs et le sentant se branler la queue j’y vais de pus en plus en fort. Je finit par freiner la cadence pour ne pas ameuter les voisins entre les bruits de claquement de mes couilles sur son cul et mes râles de plaisir, c’est un pays musulman, je ne l’oublie pas.
Youssouf prend l’initiatives des mouvements de vas et vient, il plaque son cul contre ma bite et revient en avant, je sens mon chibre glisser dans son anus et ressortir, une sensation extra, je me laisse faire, debout et mes pieds fixés au sol pour qu’il puisse prendre de plus grande amplitude…

Je sens ses mouvements aller de plus en plus en plus vite, j’entends ses petits gémissements se faire plus insistant et je l’entend lâcher un râle de plaisir en s’astiquant énergiquement la queue… Il est sur le point de jouir et moi aussi, j’empoigne ses deux fesses et lui martèle le cul comme un fou pendant une quinzaine de seconde qui suffisent à nous faire jouir tour à tour. Je sens mon sperme remplir la capote et tandis que lui relâche ses muscles… J’ai eu un orgasme comme j’ai rarement eu , et lui aussi semble avoir kiffé… Je m’écroule sur le lit, juste à coté de lui, haletant…

Et là, il me regarde, puis glisse ses doigts sur sa verge qu’il se caresse… je remarque des traces de sperme sur son pubis, le reste étant surement sur les draps du lit. Je le crois pas, il se branle, tout en relevant ses jambes, qu’il écarte… je ne pige pas trop au début s’il attend que je le sodomise à nouveau, mais il finit par me faire comprendre qu’il veut que je lui lèche le cul.

Je ne suis pas trop habitué à ces choses là, donc je m’execute sans trop réfléchir. Je passe ma langue autour de son anus gonflé et j’entends de nouveau ses fameux petits gémissement, ce qui m’excite aussi et je me décide à glisser ma langue dans son anus, c’est un peu comme lécher une chatte après tout. Le sentant s’astiquer comme un malade, ça m’excite encore d’avantage et c’est littéralement que je le bouffe le cul, limite je le lime avec ma bouche, jouant avec mon menton pour lui procurer plus de plaisir… Je ne m’en croyais pas capable, mais je finit par jouir une seconde fois rien qu’en lui bouffant l’anus, lui aussi avait de la réserve manifestement et à jouit une seconde fois.

Je finis éreinté , à tel point que je ne me souvient plus les quelques mots échangés après tout ça… je ne l’ai revu que le surlendemain à l’hotel, il était naturel , comme si rien ne s’était passé, moi aussi, mais c’est une expérience que je ne suis pas prêt d’oublier !

Patrick, 42 ans (Paris)

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