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Lopsa prise en tournante par un gang éthnique

Une tournante improvisée dans les caves de la cité, quand un mec surprend des mecs en pleine branle entre lascars. Ce dernier ne regrettera pas d’avoir croisé ces bad boys.

Tony Axel est un jeune keum en quête de sensations fortes. Il sait qu’en trainant dans cette zone il peut à tout moment faire de mauvaises connaissances. C’est aussi un repère où les les hétéros se tapent les salopes de la cité. C’est donc presque fatalement qu’il finit par croiser un groupe de 4 mecs arabes et blacks qui sont en pleine branle entre lascars.

Ces racailles savent que son petit cul fera parfaitement l’affaire de leurs grosses bites et attrapent l’insouciant par la force et le plaque au sol. Ils lui retirent son froc et lui font gober par la même occasion leurs grosses bites épaisses. Le jeune keum n’a d’autre choix que de se plier à leurs exigences, et après tout, il aime bien ça.

Traité de tous les noms, souillé sur le sol crade, il se fait même molardé à la gueule. Autant dire que ces bad boys font de lui leur chienne, voire pire encore : « leur chose ».

Soumis, le jeune cefran se laisse malmener et racler la gorge quand il sent un doigt glisser le long de ses fesses puis s’enfoncer indélicatement dans son anus serré. Il se fait ainsi travailler le cul par deux mecs qui prennent plaisir à le doigter, mais ça ne durera pas longtemps : après quelques secondes, le voilà qu’il se retrouve avec une première bite dans le cul. Un bon zob épais mais pas trop long, il a déjà vu pire, ça ne lui fait pas de mal. Mais quand le black le saisi et lui enfonce son énorme braquemard, les choses sont différentes. Il le sent très bien passer ce calibre là. Le pauvre mec va se faire tourner par les racailles de cité assez longtemps pour bien le faire couiner. Et quand ils ont eu leur compte, c’est sans sourciller qu’ils déversent leurs semences sur son cul dilaté qui s’imprègne de leur nectar, un bukkake gay au top du hard. Il va se faire doser par tous les mecs, sans exception, qui finissent par partir une fois leurs couilles vidées, le laissant là, par terre, dilaté et rempli au foutre.

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