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Récits

Le jour où j’ai baisé un jeune beur croisé dans un bar

Ludo nous raconte son expérience dans un bar perdu au milieu de nul part . Ce jour où ce jeune mec rebeu lui a sucé la bite et à donné son cul comme ça… juste car il en avait envie !

Ce que je vais vous raconter là m’est arrivé il y a une quinzaine d’année, c’était en 2006 je crois, dans un bar perdu au milieu de nulle part.

C’était un bar sans prétention et sans charme. Je me suis retrouvé là car un de mes amis connaissait le patron et c’était l’occasion de passer un vendredi soir entre amis.

On a enchaîné les bières sur notre petite table dans un coin de la salle assez éloigné du comptoir. A coté de nous, il y avait un groupe de 4 quatre mec « black blanc beur » : un renoi, un blanc et deux rebeus charmants.

Moi et mon groupe d’amis sommes des gays plutôt discrets, même nos discussions n’avait rien à voir avec le sujet ou nos aventures sexuelles. C’était surtout pour pas attirer l’intention sur nous.

La soirée se passe, les verres s’enchainent, et comme c’est une petite ville (agglomération Troyenne pour ceux qui connaissent), malgré qu’il ne soit pas si tard comparativement aux soirées sur Paris, il ne restait que deux tables dans le bar : la notre et celle du groupe de 4 mecs.

Comme c’était une époque où nous pouvions encore fumer dans les bars et restaurants, et qu’à cette époque je ne fumais pas justement, la fumée commence à me gêner car tout le monde fume autour de moi. De plus les bières et le digestif n’aident pas et la tête commence à me tourner.

Je décide donc d’aller dans la cours du bar : ça faisait un espèce de jardin avec de grands arbres lourds et sombres. La fraicheur de la nuit m’aide à aller mieux , je respire et fait quelques pas et je m’arrête au pied d’un grand chêne. Tout à coup, je sens une présence derrière moi qui me fait sursauter, je me retourne et je reconnais un des rebeus qui était à la table voisine de la nôtre. Il a l’air très jeune, je pense que c’est le plus jeune des quatre.

– désolé je t’ai fait peur ?
Je réponds :
– salut! oui un peu tu es arrivé sans faire de bruit ça m’a surpris en esquissant un sourire.

Il ressemblait à lui, de visage et de corps…

Il me sourit et me salue à son tour. Son sourire le rends encore plus craquant ! Il a les traits fins, le regard sombre , les cheveux coupés courts , et je peux même voir la blancheur de ses dents tellement son sourire est grand.

A ce moment là, il me sort la chose auquel je ne m’attendais le moins :

– dis voir, toi et tes potes, vous êtes pédés non ?
Aïe… ça sent mauvais… Je me souvient avoir marqué un temps d’arrêt , un peu choqué … Je me souviens que j’ai répondu, assez sèchement :
– je veux pas d’embrouille gars , je suis juste là avec mes amis !
Il prend un air très sérieux et me dit :
– moi non plus j’en veux pas je demande c’est tout !
– en tout cas ça regarde que moi et j’ai pas à te répondre…
D’un coup il me prend le bras et me tire dans un coin plus sombre… dans ma tête je me fais les 1000 scénarios , à vrai dire je pige pas grand chose à ce qu’il se passe…  je reste muet de peur , je suis raidi. Il s’en rend compte il me dit d’une voix douce :
– n’ai pas peur je veux te montrer un truc.
C’est ce contraste qui me décontenance : son geste est un poil agressif, mais lui est doux avec moi , comme sa voix. Je lui rétorque :
– qu’est ce que tu cherches à faire là ?
– il faut être un peu caché si tu veux me sucer.
Surement un peu vexé ou toujours dans mon rôle ambigu mi gay mi hétéro je rétorque:
– Euh… non je ne suce pas !
Je ne sais même pas pourquoi j’ai répondu ça… c’est peut être simplement de ne pas avoir le contrôle et ne pas savoir ce qu’il se passe. Mais, chose incroyable il réponds à ça :
– ok ben si tu ne le fait pas, moi si !

Écoutez la suite…
Quelques metres plus loin, je le vois se mettre à genoux face à moi, déboutonner mon jean , le baisser , puis s’attaquer à mon slip : il me masse le paquet puis descend mon slip…

Il déballe ainsi ma queue et me la gobe: incrédule, je me laisse faire, je sens bientôt l’excitation monter en moi et ma bite grossit à vitesse grand V.

Ce jeune rebeu n’en est pas à sa première queue, croyez moi. Il me pompait goulûment sur toute la longueur, m’aspirait le gland. Je n’ai pas senti ses dents une seule fois. En plus, sa large bouche et ses lèvres charnus… quel pied !
Alors que pendant un moment j’avais les yeux fermés, surement en pleine extase, quand je les réouvre je croise son regard et il me chuchote :
– elle est super ta teub
Il est certain que c’est le genre de chose qui fait plaisir à entendre ! Je suis fier comme un coq tandis qu’il me pompe la teub de plus belle. J’essayais de contenir mes gémissements de plaisir pour rester discret au vue de la situation, d’autant que je commençais à penser que mon absence allait se faire remarquer…

Je pense que ça ai duré plus de 5 minutes, peut être même pas plus de 3 … quand il s’est relevé et m’a dis :
– tu m’baise le cul ?

Il ne faut pas me le dire deux fois… je ne suis pas tapé souvent des rebeus passifs, mais quand c’était le cas, j’ai vraiment bien kiffé : l’un avait un gros cul bien ferme et l’autre un trou bien serré… Hate de gouter à ce cul là pour le coup !

Je commence à me lécher les doigts, prêt à lui graisser la rondelle avec ma salive. Il baisse son jean il est nu dessous je vois qu’il bande dur, mais il n’a pas une très grosse bite. Pour un rebeu c’est rare, ils étaient tous les deux bien membrés… bon tans pis !

Il prend appui sur un arbre et cambre son cul. Il a un petit cul et une belle cambrure . Il faut dire que le mec n’est pas épais et n’a pas un pet de graisse.. Je me poste derrière lui, lubrifie son cul avec mes doigts mouillés puis commence à frotter ma bite contre son anus.
Je pousse doucement, lais il se recule d’un coup ses, je me retrouve entièrement en lui. Il est super chaud ce petit mec, il me demande de le baiser et de bien lui faire le cul. Ces paroles crues m’excitent et je ne me fais pas prié. Je le lime avec ferveur et lui, il continu a m’encourager employant toujours des mots de plus en plus cru. Je vois qu’il se branle vivement. Tous les deux on devient super torride, cette baise est d’une dureté et d’un fougue inhabituelle pour moi.
Puis il me dit d’une vois fébrile :
– « putain » je vais juter !
– vas’y oui !
Dans des deniers coup de reins brutaux, je gicle dans son cul brûlant en étouffant mes cris de bête en rut. Le sperme se repend dans le bout du préservatif avec force, tandis que lui, en gémissant, lance son jus qui macule le pied de l’arbre. On reste immobile quelque instante histoire de revenir sur terre. Puis il s’essuie les fesses, moi ma queue avec ce qu’on trouve (des feuilles) puis on se rhabille.

Avant de revenir dans la salle du bar, il me demande d’attendre un peu après lui et de ne surtout ne rien dire à personne. Je lui fais un grand sourire en lui promettant de me taire. Il repart dans le bar, j’attends quelques minutes et rejoins mes amis qui ne se sont rendu compte de rien.
Aujourd’hui, je viens de trahir ma promesse.

Ludo

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